L'avancement du processus électoral
- elmano endara joseph
- 3 déc.
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Le ministre délégué chargé des questions électorales, Joseph André Gracien Jean, s’est présenté, ce mardi, devant les Mardis de la Nation. À la Primature. Devant un public pressé de comprendre. D’évaluer. De juger l’avancement du processus électoral. Il parle d’avancées. Mesurées. Fragiles. Mais réelles.
Il évoque les textes déjà harmonisés. Les procédures clarifiées. Le dialogue renforcé avec les acteurs politiques. Il insiste sur la nécessité d’une administration électorale stable, méthodique, strictement professionnelle. Pas de précipitation. Mais pas d’atermoiements non plus. Le pays, dit-il, attend trop depuis trop longtemps.
Le ministre rappelle les efforts engagés pour sécuriser les opérations. Zones à risques ciblées. Protocoles en révision. Coordination accrue avec la Police nationale et les partenaires techniques. Tout reste perfectible, concède-t-il. Mais les fondations se posent. Lentement. Fermement.
Il appelle à la responsabilité collective. À la patience lucide. À la volonté de participer sans manipuler. Les élections ne sont pas une faveur, affirme-t-il. Elles sont une obligation républicaine. Une étape incontournable pour remettre l’État debout.
La salle acquiesce. Sobrement. Pas d’euphorie. Juste cette attente tendue d’un pays qui veut enfin tourner la page.
La rédacton







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